ANIMATION Simulation de la GROSSESSE

9 MOIS DE GROSSESSE EN UNE SEULE SIMULATION

Le simulateur reproduit le troisième trimestre de la grossesse.
Il permet de ressentir la prise de poids de 15 kilos, la pression des membres du fœtus et la pression sur la vessie.

Cet outil pédagogique sera utilisé pour les hommes comme pour les femmes lors
- des cours à l’accouchement,
- des programmes de prévention de la grossesse ou de la santé
- des sensibilisations pour les familles,
- des journées dédiées à la femme ou de sa sexualité,
- des études de marché pour les produits de consommation,
- des cours pour les professionnels de la santé

Les mises en situation permettront de faire découvrir :

- les changements physiques liés à la grossesse,
- l’adaptation nécessaire aux gestes du quotidien,
- les sensations de fatigue et de pénibilité liées au volume et au poids

Comme tous nos outils de simulation, le simulateur de grossesse permet de favoriser la sécurité, la mobilité et l’empathie.
Efficacité proprioceptive établie.

Matériel utilisé pour cette animation :
- Un corset simulant la poitrine féminine et le ventre arrondi ,
- Une poche de simulation de liquide amniotique pour simuler l’élévation de la température corporelle et les mouvements du fœtus,
- Une ceinture de compression du bassin pour simuler la difficulté à respirer et à se mouvoir,
- Une ceinture pour simuler la pression de la vessie.

Programme : Envoi sur demande en passant par le formulaire contact.

Tarif : Elaboration personnalisée sur demande en passant par le formulaire contact.

Intervenant : Un préventeur

Quelques chiffres :

Plusieurs futurs pères peuvent éprouver eux-mêmes des symptômes de grossesse.Retour ligne automatique
Les symptômes peuvent être aussi bien physiques que psychologiques.Retour ligne automatique
La couvade pourrait être due à des modifications hormonales, mais aussi à la transition de l’homme vers son nouveau rôle de père.Retour ligne automatique
Le père qui vit des symptômes de couvade devrait en discuter avec sa conjointe ou son médecin, au besoin.Retour ligne automatique
Ce syndrome, qui n’est pas une maladie, est plus répandu que l’on croit. Aux États-Unis, le phénomène toucherait de 25 à 52 % des pères, et plus particulièrement ceux qui attendent un premier bébé. Les hommes auraient toutefois tendance à ne pas parler de ces symptômes.

Source Naitre et grandir