VIEILLISSEMENT / HANDICAP Prévention obésité

Prévenir l’obésité en ressentant ses conséquences avec notre simulateur d’obésité

Simulons le quotidien d’une personne en situation d’obésité massive afin de mieux comprendre son handicap (ateliers participatifs autour de son quotidien : habillage, toilette, déplacements, repas, transferts, équipements mal adaptés).

RESSENTIR LES CONSEQUENCES LIEES A L’OBESITE ET EN CONNAITRE LES CAUSES

Cet atelier est réalisé avec un simulateur d’obésité sous forme de combinaison s’adaptant à toutes les morphologies.

- Changer notre perception de l’obésité
- Mieux comprendre cette maladie, ses causes et ses conséquences
- Lutter contre la Grossophobie, la Nash, la malbouffe, la sédentarité

Nous consulter pour une action personnalisée via le formulaire de contact.

Surface nécessaire : 15 m²

Intervenant : Formateur PREVENT’EURE. Tous nos formateurs sont soit diplômés en "ergothérapie" soit en "ergo motricité".
Quelques chiffres :

Près de la moitié des Français souffrent de surpoids ou d’obésité. Un nombre qui ne cesse d’augmenter depuis plus de 30 ans et qui sonne l’urgence.
Sensibiliser le grand public, les aidants ou les professionnels de santé devient impératif (infirmiers, masseurs, kinésithérapeutes, diététiciens, nutritionnistes, psychologues.
Il convient d’accompagner au mieux et sans stigmatisation, les patients qui sont de plus en plus nombreux à souffrir d’obésité et de surpoids. Et ce, à tout âge et dans toutes les classes sociales.
Pour rappel, selon l’Inserm, on parle de surpoids chez l’adulte quand l’indice de masse corporelle (IMC) est égal ou supérieur à 25 et d’obésité quand l’IMC est égal ou supérieur à 30.

Les chiffres en France concernant l’obésité :
17% des adultes
57,3% des 65 ans et plus
23,2% des 18-24 ans
4% des enfants et ados mais 17% si on compte aussi les jeunes adultes de moins de 20 ans
L’étude de l’Inserm révèle aussi une inquiétante augmentation de la prévalence de l’obésité chez les jeunes adultes (Depuis 1997, l’obésité chez les 18-24 ans a été multipliée par plus de 4, et par près de 3 chez les 25-34 ans).
Etude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) diffusée en février 2023.