Nous sommes 11 % à connaître le numéro de notre centre antipoison.
Nous sommes 43% à ne pas connaître le numéro d’urgence européen 112.
Safety day
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Goodies NUMEROS D’URGENCE
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ANIMATION Addictions
QUELQUES CHIFFRES CONCERNANT LES JEUNES
LES ECRANS : Les 11-14 ans passent en moyenne 8h23 par jour devant un écran.
LES TELEPHONES : Les jeunes consultent leur smartphone en moyenne 50 fois par jour.
LA CIGARETTE : 28% des jeunes de 15 ans ont déjà fumé et 25% fument quotidiennement.
LA CIGARETTE ELECTRTONIQUE : 54% des moins de 17 ans ont déjà expérimenté la cigarette électronique.
L’ALCOOL : 13 ans est l’âge moyen de l’expérimentation de l’alcool et la consommation moyenne mensuelle à 15 ans est de 58% et à 17 ans 79%. 41% des moins de 15 ans avouent avoir déjà été ivres au cours de leur vie.
LES DROGUES : 7,2% des jeunes de 17 ans consomment au moins 10 fois par mois du cannabis, 3% pour les autres drogues illicites.
LA BIGOREXIE : Les pourcentages d’addiction au sport sont très variables selon les outils d’évaluation utilisés. Dans la littérature on trouve les chiffres de 3 %, de 5 à 7%, 9%, 17 %, 20%, 30 %, 34 %, et même au-delà de 42 % (source IFAC Toulouse).QUELQUES CHIFFRES CONCERNANT LES + 18 ANS :
LA CIGARETTE : C’est la 1ère cause de mortalité évitable en France. 3 personnes sur 10 fument (6 personnes sur 10 souhaitent arrêter). 41,2% des français ont déjà expérimenté la cigarette électronique.
L’ALCOOL : C’est la 2ème cause de mortalité évitable en France. 1 adulte sur 5 dépasse la consommation recommandée (2 verres par jour max).
LES DROGUES : En 2023, 450 victimes dont 30% de jeunes de moins de 20 ans.
5 millions d’usagers du cannabis donc 1,3 sont des consommateurs réguliers (+10 x par mois).
600 000 personnes consomment de la cocaïne au moins une fois dans l’année.
400 000 usagers pour les drogues de synthèses (MDMA, ecstasy).
Les conduites addictives interviennent dans 30% des décès avant 65 ans.Sources santé publique France & IFAC Toulouse
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QVCT Comprendre et améliorer mon bien-être
Epidémiologie selon l’étude
« 14ème baromètre Malakoff Humanis
Santé des salariés et qualité de vie au travail en 2023 »44 % des femmes et 32% des hommes ont déclaré avoir une moyenne/mauvaise santé mentale, pour des raisons d’abord liées à leur vie professionnelles.
70 % des salariés estiment que leur mauvais état de santé mentale nuit à leur travail.
32% de salariés s’estiment en mauvaise santé mentale pour des raisons professionnelles, tandis que 30% attribuent leur état à des facteurs personnels.
Pour 31 % d’entre eux, les causes sont à la fois professionnelles et personnelles.Les trois principales causes de souffrance au travail sont
– L’intensité et le temps de travail (62 %)
– Les rapport sociaux dégradés (40%)
– Les conflits de valeurs sur le lieu de travail (34 %)Les plus touchés sont les managers (54 %), les cadres (54 %) et les moins de 30 ans (52 %)
30 % déclarent ainsi travailler de plus en plus souvent chez eux, en plus des horaires de travail (+7 points en 10 ans) et près de 2 salariés sur 5 consultent leurs mails en dehors du travail (+19 points en 10 ans). »Les trois principales causes personnelles sont
– Les contextes familiaux générateur de charge mentale pour 37 % : parents isolés, salariés s’occupant d’un proche dépendant, perte d’un proche, solitude, etc.
– Les situations financières compliquées (33 %). Les moins de 30 ans en particulier évoquent cette dernière raison (qui peut être l’occasion de s’interroger sur son salaire) et l’isolement social comme source de mal-être.
– Les problèmes de santé physique (31%), dont les troubles musculosquelettiques susceptibles de plomber la vie quotidienne du salarié. -
QVCT Hygiène du sommeil
La lumière est un "somnicament" .
L’effet de l’exposition à la lumière sur le rythme de la mélatonine et du sommeil est bien prouvé par les études initiées au départ, dans les pays du Grand Nord où la nuit dure plusieurs mois.
Plus récemment, l’effet de la photothérapie a été validé pour la prise en charge des troubles du sommeil qualifiés de « dépression automnale » où l’on montre que, chez certains sujets, le raccourcissement de la durée du jour en hiver provoque des troubles de l’humeur.
Une enquête récente de l’IVS (l’institut Vigilance et Somnolence) a montré que la durée du sommeil est inversement proportionnelle à la durée du jour : on dort plus longtemps en hiver qu’en été.
De même façon, il est démontré que les capacités d’apprentissage sont bien supérieures l’été que l’hiver. (Jules Ferry, le ministre qui a rendu l’école obligatoire dans une France rurale à 80%, a choisi de laisser les enfants libres d’aider au travail des champs durant les mois d’été). -
VIEILLISSEMENT / HANDICAP Simuler le vieillissement & les TMS
RESSENTIR ET MIEUX COMPRENDRE LES EFFETS DU VIEILLISEMENT ET LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES
==>Les effets du vieillissement (VUE, AUDITION, MOTRICITE) ==>Les handicaps visibles & invisibles ==>Les TMS
Mettons-nous dans la peau d’une personne vieillissante pour mieux comprendre les handicaps et les troubles musculosquelettiques (mises en situation avec des ateliers participatifs) avec nos simulateurs : Simulateur de vieillissement® optimisé, performant et révélateur du handicap (...) -
ANIMATION Dangers en été
L’été est la saison des beaux jours où nous passons pas mal de temps au jardin ou lors d’activités d’extérieur ou sur notre lieu de vacances.
Le risque d’accidents de la vie courante est important :
noyades en piscine ou dans des réservoirs d’eau,
accidents avec le barbecue,
blessures en jardinant ou en bricolant,
intoxications avec les baies, les produits phyto-sanitaires,
piqûres d’insectes,
accidents avec les jeux pour enfants comme le trampoling
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EXPOSITION Les dangers de la vie courante
Exposition pédagogique sur la prévention des accidents de la vie courante.
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Les thématiques 1 - Accidents vie courante et domestiques 2 - Psychomotricité de l’enfant 3 - Matériel de puériculture 4 - Noyades dans (...) -
FORMATION Prévenir le mal de dos et les TMS
87% des maladies reconnues sont des TMS.
La manutention est à l’origine de 53% des accidents (TMS).
Les maux de dos représentent 20% des accidents du travail dot 1/5 entraîne un arrêt de travail (durée moyenne deux mois d’arrêt).
Les lombalgies représentent la 1ère cause d’inaptitude avant 45 ans.
45% des TMS entraînent des séquelles lourdes (incapacités permanentes).
Source assurance maladie 06 janvier 2020 -
Jeu CHASSE AUX DANGERS
Chez les enfants de moins de 15 ans, les lieux d’accidents sont identiques quel que soit le sexe. Le théâtre des accidents d’enfants est le plus souvent la maison (48 %) et les lieux publics (39 %) dont la moitié dans les aires de sports et de jeux.
Les chutes constituent de loin le mécanisme le plus fréquent (60 %), suivi des coups et collisions (19 %).
29 % des accidents d’enfants entraînent des contusions ou des hématomes, 24 % des plaies, 15 % des fractures et 13 % des entorses. La tête est touchée dans un tiers des cas, les membres sensiblement plus d’une fois sur deux.
Subsistent en outre les risques d’intoxication accidentelle (faible chez les enfants), de suffocation (la mortalité infantile liée à ce risque a fortement diminué au cours des dernières années) et de brûlure (feu, objets ou liquides chauds).
Source : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Accident-de-la-vie-courrante/Quelques-chiffres
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ANIMATION Accidents domestiques et sa Maison géante ®
La maison est perçue comme un lieu sûr mais elle est pourtant le siège d’un grand nombre d’accidents, en particulier chez les enfants et les personnes âgées.
On recense chaque année environ 20 000 décès liés à un accident de la vie courante, 400 000 brûlures, 2 millions de chutes chez les plus de 65 ans.
(Source : https://www.interieur.gouv.fr/A-votre-service/Ma-securite/Conseils-pratiques/A-votre-domicile/Les-accidents-domestiques )Les accidents domestiques représentent 61 % (12 000 morts par an) des accidents de la vie courante.
L’INVS déclare que les hommes étaient plus nombreux a décéder à cause de ces accidents que les femmes : 50,2% contre 49,8% en 2008.
Chez les enfants de moins de 15 ans, il s’agit le plus souvent d’une noyade, d’une chute ou d’un étouffement. Les accidents domestiques constituent la première cause de mortalité des enfants de moins de 15 ans.Selon le baromètre INPES 2010, les accidents parmi les 75-85 ans, population particulièrement touchée par les accidents de la vie courante se déroulent pour moitié (50%) à l’intérieur du domicile. Dans les deux tiers des cas (67%), il s’agissait de chutes.
Selon une étude réalisée en 2006, les chutes représentent la moitié des causes de mortalité des accidents domestiques ; suivies par les suffocations, les noyades, les intoxications et enfin les incendies. Les deux tiers de ces victimes concernent les personnes âgées, principalement suite à une chute.
(Source : https://www.planetoscope.com/mortalite/1450-deces-par-accidents-domestiques-en-france.html )Quelle différence entre un accident de la vie courante et un accident domestique :
L’accident domestique se déroule dans la maison ou dans le jardin de la maison.
L’accident de la vie courante survient à la maison, aux abords immédiats (jardin, cour, garage, et autres dépendances), à l’extérieur (magasin, trottoir), dans un cadre scolaire, au cours de la pratique sportive, pendant les vacances ou les loisirs.
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